L’Andra s’affiche
L’Andra, d’habitude silencieuse, a décidé de communiquer entre autre sur Linkedin. Le visuel bien que cohérent, recèle une ambiguïté majeure.
L’Andra, d’habitude silencieuse, a décidé de communiquer entre autre sur Linkedin. Le visuel bien que cohérent, recèle une ambiguïté majeure.
Un réseau d’affaires construit dans un train à l’arrêt : d’étonnants signifiés, entre fragilité extrême et stagnation,.
Déplaisante, agaçante, déplacée, insidieuse : OUI. Mensongère : NON. Mais bien faite. Mais contrariante … « Au commencement, Daddy est végétal » impose à son lecteur une perception complexe qui sollicite l’attention, multiplie les signes implicites et évite habilement toute affirmation explicite. Plusieurs signes sont purement attractifs voire addictifs pour les enfants, qui n’en comprendront qu’un rapport visuel sucre–végétal …
Articles parus sur d’autres sites ou blogs
La réponse apportée par deux chercheurs est fragilisée par la nature de ‘signe visuel’ de la couleur, absente de leur étude.
La neuropsychologie nous dit qu’on se rappelle ce qui a du sens, la sémiologie nous explique comment ce sens est produit : deux techniques scientifiques qui ont des choses à se dire !
Le cerveau décide seul de ce qu’il mémorise, quand, comment, et pourquoi. Mêmes questions pour ce qu’il nous rappelle. Mais il y a des pistes à suivre pour y voir un peu plus clair.
Dès la rétine, capteur intelligent et sélectif, l’image se propage au cortex visuel, où les graphismes saillants, porteurs de significations reconnues, favorisent une identification ultra-rapide, en influant potentiellement sur nos émotions vitales.
Quel lien peut-on faire entre la façon dont un signe visuel nous ‘atteint’ -sensoriel, abstrait, émotionnel,…- et la façon dont nous le mémorisons ?
Cet article élabore d’abord un contexte de réflexion avant de proposer des réponses, sur le sujet de la mémoire où chaque jour apporte son lot de découvertes.
Second volet dédié à des applications prospectives en architecture intérieure.